https://www.youtube.com/watch?v=h2MHtElhhqM
Que se passe t-il, en comprendre les mécanismes.
Nathalie Billé – Gestalt thérapeute
Gestalt thérapie – Ici et maintenant en conscience – Un être au monde en lien avec les autres
https://www.youtube.com/watch?v=h2MHtElhhqM
Que se passe t-il, en comprendre les mécanismes.
Cette vidéo vous fera découvrir cet homme, sa pensée, ses valeurs, sa pratique professionnelle. Je m’inspire beaucoup de ses croyances, dans mon être thérapeutique. Je vous invite à le découvrir.
https://www.youtube.com/watch?v=45fzveEID1A
Certains préfèreront le yoga, d’autres, la méditation, ou encore le Qi Qong, une balade en nature. Chacun aura raison, Il y en a pour chacun, selon sa préférence. Laissez-vous séduire par une technique, c’est elle qui vous choisit. Goûtez à ses bienfaits. Cette vidéo est à la portée de tous, juste, reproduisez ce que vous ressentez. Bonne pause.
Notre job, c’est de trouver les bonnes raisons de faire, et de positiver dans ce monde parfois rude.
Ecoutez plutôt Edouard BAER, la finesse des mots, c’est lui.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-docum
Dès le début du 20e siècle, la phénoménologie s’est intéressée à la santé mentale et au soin psychique. Philosophes et psychiatres ont cherché ensemble des voies nouvelles de soin et de compréhension de la souffrance psychique et de l’existence. Le psychiatre Jean Naudin explique l’apport de la phénoménologie à son métier : “Ce qui caractérise l’intérêt des psychiatres pour la phénoménologie et l’intérêt de la phénoménologie pour l’expérience psychiatrique, c’est l’intérêt commun fait pour le style. C’est une approche esthétique du monde qui fait que j’ai choisi ce métier-là.”
Une approche que rejoint Claudia Gaulé, psycho-praticienne en Gestalt-thérapie : “Une des racines de la phénoménologie, c’est l’esthétisme, c’est cet instant de rencontre avec l’autre, de rencontre avec l’environnement où il se passe un moment fait de vibrations émotionnelles. Le message qui est adressé est plus un message de l’ordre poétique plutôt qu’un discours ou un récit, c’est un moment où l’on fait passer quelque chose.”
Deux ouvrages inédits de Michel Foucault publiés fin 2021 ont révélé l’intérêt du philosophe pour ces nouvelles approches inspirées de la phénoménologie.
Dans cet épisode, nous explorons différentes pratiques de thérapeutes inspirés par la phénoménologie comme l’analyse existentielle créée par Ludwig Binswanger que la psychanalyste Caroline Gros définit ainsi : “L’analyse existentielle au sens de Ludwig Binswanger, c’est la réunion de courants qui ne sont pas antagonistes, mais qui se marient, qui convergent, qui se sollicitent mutuellement. La psychanalyse d’un côté, la phénoménologie de l’autre. Et c’est avec l’apport de ces deux grandes sources que l’on peut travailler en analyse existentielle”.
Nous parlerons également de la Gestalt thérapie inspirée de la théorie de la perception, de la psychiatrie phénoménologique et serons notamment invités à suivre une séance à l’hôpital de Marseille avec Jean Naudin, et l’un de ses patients.
Un documentaire d’Élise Gruau, réalisé par Marie-Laure Ciboulet.
« Rire, c’est risquer de paraître idiot.
Pleurer, c’est risquer de paraître sentimental.
Aller vers quelqu’un, c’est risquer de s’engager.
Exposer ses sentiments, c’est risquer d’exposer son moi profond.
Présenter ses idées, ses rêves à la foule, c’est risquer de les perdre.
Aimer, c’est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c’est risquer de mourir.
Espérer, c’est risquer de désespérer.
Essayer, c’est risquer d’échouer.
Mais il faut prendre des risques car le plus grand danger de la vie, c’est de ne rien risquer du tout. Celui qui ne risque rien ne fait rien, n’a rien, n’est rien. Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n’apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer ni se développer, ne peut ni aimer ni vivre. Enchaîné par sa certitude, il abandonne sa liberté.”
Parmi les personnes qui témoignent dans cette émission passée sur France 5 en 2019, il y a eu un avant et il y a un après. Rien a voir, car sorties de l’emprise, les personnes recommencent enfin à gouter à la légèreté, la paix.
Si vous vous reconnaissez, demandez de l’aide à un professionnel, sans en parler à qui que ce soit autour de vous. Votre entourage aura toujours tendance à ne voir que les qualités de votre bourreau, et aura du mal à accueillir vos doléances. Faites vous aider dans un endroit neutre.
Une autre vidéo pour vous aider à bien identifier le processus :
Je cite Frédéric Lenoir, sociologue, écrivain, qui a déjà beaucoup parlé de Gestalt thérapie, en ayant lui-même déjà suivi une.
Dans son dernier livre, “Young, un voyage vers soi”, Frédéric Lenoir a choisi de s’inspirer de Carl Gustav Jung (1875-1961), médecin suisse, pionnier de la psychanalyse. Young a été l’inventeur de nombreux concepts révolutionnaires, comme la synchronicité, l’inconscient collectif, les archétypes ou les complexes.
La lecture des oeuvres de Young et Spinoza a agi sur la vision du monde de Frédéric Lenoir, qui a partagé son analyse à un plus large public, sous forme de livres, de conférences.
Ici, la pensée visionnaire de Young, qui fait le pont entre psychologie et physique quantique, montre combien l’être humain a besoin de sens et d’une vie symbolique ou spirituelle pour s’épanouir profondément. Cette conviction l’a éloigné de Freud et l’a amené à expérimenter et à élaborer son « processus d’individuation » : un extraordinaire voyage intérieur, où chacun d’entre nous apprend à faire dialoguer son conscient et son inconscient pour devenir pleinement soi et accéder à un sentiment d’unité et de joie profonde.
C’est pour soutenir les êtres humains qui ont envie de vivre ce fascinant voyage vers soi, que j’ai décidé de me consacrer à la Gestalt thérapie , je suis touchée par la pertinence de cette vidéo par rapport à ma façon de voir et de ressentir. J’ai donc souhaité vous la partager. Cela parle de la compréhension de l’être humain et du sens de son existence. Cela dévoile aussi ma façon de travailler en thérapie…
“Alice Desbiolles, épidémiologiste et médecin de Santé Publique, et Barbara Stiegler philosophe française, professeure à l’université Bordeaux-Montaigne ; qui travaillent en collaboration avec les milieux de la santé, échangent sur la gestion de la crise sanitaire.
Interrogées par Kaisen Magazine, média 100% indépendant, qui explore les solutions écologiques et sociales pour favoriser la transition.”
J’aime ces débats indépendants qui se risquent à une analyse décalée, d’un autre point de vue, plutôt que de lire, de regarder et d’écouter uniquement notre presse publique.
Il existe bien d’autres sujets que la gestion du Covid en ce monde. Et dans la gestion du Covid, il existe bien d’autres sujets que celui de la maladie, des statistiques, des tests, des vaccins et des restrictions.
Et si on parlait de l’humain, de ses besoins, des fascinants dons de la nature, de l’espoir, en rappelant tout ce qui peut faire grandir l’homme par la joie, l’envie, le bon sens, et non le désespoir. En tout cas c’est ma quête.
C’est dans l’épreuve qu’on se révèle, ai-je souvent lu, je me surprends donc, depuis le début de l’ère du Covid, à chercher des solutions alternatives, responsables, pour encore mieux soutenir et développer l’humain. Et à m’engager moi-même tel un petit colibri, à rejoindre les personnes qui sont dans cette optique aussi.
J’ai sélectionné un article du philosophe André Comte Sponville car il vient soutenir l’idée qu’il n’y a pas que la santé ou la maladie dans la vie, il redonne l’espoir de rester bien vivant en prenant du recul